Foutoir Céleste

Entre transe de conso­la­tion, rite de passage, et fête jusqu’au bout de la nuit, nous vous invi­tons, mesdames, messieurs, à venir fêter les débuts et les fins, les nais­sances et les morts, les prin­temps et les hivers, les ratés, les réus­sites !

Si vous les aviez ratés il y a deux ans pendant Mosaïque à Nogent-Sur- Oise, ou si vous rêviez de retrou­ver cette belle éner­gie rock, en voici l’oc­ca­sion, cette fois-ci sous chapi­teau.

Et là, aujour­d’hui, c’est l’an­ni­ver­saire de l’ar­ri­vée sur terre du dieu Coyote ! Chez les natifs améri­cains, c’est le dieu qui met le bazar dans nos vies, comme pour nous réveiller.

Il est ce grain de sable qui vient enrayer la machine, ce coup de pied dans notre cocon de sécu­rité, ce truc qui nous titille, qui revient sans cesse.

Il est ce gros Foutoir, qui nous tire vers le Céleste.

Il tourne autour de nous sur la piste à l’ar­rière du gradin, il rôde pendant que devant nous, ça s’em­balle, ça mélange les tech­niques de cirque pour tour­ner, traver­ser, voler ou jongler.

Bref, pour lais­ser libre cours à l’éner­gie libé­rée.