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Tout le monde s'en fout mais......
Auteur : Arthur 
1/6

Date :    04-03-2015 08:21:54


Les dangers de la télévision pour la santé

Regarder la télévision fait grossir

‘2 heures de télévision par jour multiplie le risque d’obésité par 3 chez le jeune enfant et par 1,5 chez l'adolescent’, prévient le Dr Michel Desmurget, docteur en neurosciences. Un chiffre fort qui concernent aussi les adultes puisqu'on sait que ‘8 enfants sur 10 qui sont obèses le reste à l’âge adulte’, rappelle notre interlocuteur. Et malheureusement qui dit 'obésité', dit bien souvent 'cholestérol', 'diabète', 'hypertension'… et augmentation du risques de maladies cardiaques (infarctus, AVC…).

Pourquoi un tel effet? Pour plusieurs raisons. Un, quand on regarde la télévision, on est généralement confortablement installé dans son canapé plutôt qu'en train de pédaler sur son vélo elliptique (vélo d'appartement)! On ne bouge pas donc on stocke! Deux, la télévision pousse à la (sur)consommation. On se détend en regardant un bon film et on en profite pour dévorer la tablette de chocolat ou on tombe sur des quantités de publicités toutes plus alléchantes les unes que les autres! Dur dur de résister à la tentation ensuite.
Auteur : Arthur 
2/6

Date :    12-09-2024 21:05:50








J’ai 69 ans. Je suis allé récemment chez un nouveau médecin.

- Après deux visites et des tests de laboratoire, il m'a dit que j'étais très bien pour mon âge.

- Après cette remarque, je n'ai pas pu résister à lui demander



Pensez-vous que je vais vivre jusqu'à 85 Ans ?


> > - Alors il m'a demandé :



- Est-ce que vous fumez ?
> > - Buvez-vous de la bière, du vin de l'alcool ?


> > Oh non, ai-je répondu.
> > De plus, je ne prends aucun médicament.



Puis il me demanda :


> > - Est-ce que vous mangez du steak et des viandes rôties au barbecue ?


> > J'ai répondu :



Non, mon ancien médecin m'avait dit que les viandes rouges sont mauvaises pour la santé.


> > - Est-ce que vous passez beaucoup de temps au soleil ?
> > - Jouez-vous au golf?
> > - Faites-vous de la voile, de la randonnée ?
> > - De la moto

- Conduisez vous des voitures de sport ?

Non, rien de ça.

- Avez-vous des maîtresses, et avez-vous des rapports sexuels fréquents et non protégés?

Non plus.

Alors, il m'a regardé et m'a dit..

- Mais alors, pourquoi voulez-vous vivre jusqu'à 85 ans ? vous allez vous emmerder !
Auteur : Arthur 
3/6

Date :    06-01-2025 21:11:10



Pour stimuler un peu le Glaude !

LA MARCHE, CHARGEUR NATUREL DU CORPS HUMAIN



QUICONQUE CESSE DE MARCHER, LA SANTÉ L'ABANDONNE, CAR LA PEAU SÉCRÈTE DE L'ACIDE LEPTONIQUE,*

( HORMONE DE LA PARESSE.)

《 POURQUOI DOIT-ON MARCHER ? Je souhaite que chacun lise la réponse.

● Nous marchons pour combattre le stress, les pressions psychologiques...

● Nous marchons pour diminuer notre poids,

● Nous marchons pour soigner le diabète, le cholestérol...,

● Nous marchons pour activer les fonctions des reins, du foie, des yeux...,

● Nous marchons pour dynamiser l'action du cœur et réduire la dureté des artères,

● Nous marchons pour éviter l'inflammation du côlon et les troubles digestifs,

● Nous marchons pour activer notre système immunitaire,

● Nous marchons pour activer nos muscles, nos os et renforcer notre santé.

● Chaque élément susmentionné mérite des séances de marche.

Les médecins et experts sont unanimes que la marche est un médicament qui soigne toutes ces maladies.

● Les médecins confirment encore que : la marche joue un rôle très important pour soigner toutes les maladies : organiques, mentales, psychosomatiques..., et si un médicament aussi efficace que la marche existait sur le marché, les médecins le prescriraient dans toutes les ordonnances.

● La marche est un remède efficace et gratuit, mais, hélas, les malades hésitent toujours pour l'utiliser.

● Un éminent médecin a prononcé cette belle affirmation :

《 Si un terrain de sport était aménagé autour de chaque hôpital et les patients y pratiquaient la marche, la moitié des malades n'y seraient pas internés; et la moitié des malades les quitteraient définitivement. 》

● Dieu nous a créés pour marcher. Mais nous sommes cloués sur des chaises. Et lorsque les maladies nous envahissent, ils nous étalent sur des draps blancs au lieu de nous pousser à marcher.

● Bougeons pour que notre santé et notre bien-être demeurent.

Veuillez transmettre cette information à celui que vous aimez !
Auteur : Arthur 
4/6

Date :    08-01-2025 21:25:03


Merci.

LE SAVIEZ-VOUS ?*.

1. L'ESTOMAC

est blessé quand tu n'as pas pris ton petit-déjeuner le matin.

2. Les REINS

sont blessés quand tu n'as même pas bu dix (10) verres d'eau en 24 heures.

3. Le VÉSICULE BILIAIRE

est blessée quand tu n'as même pas dormi pendant 8 heures du temps et ne t'es pas réveillé au lever du soleil.

4. Le PETIT INTESTIN

est blessé lorsque vous mangez froid et des aliments rassis.

5. Le GROS INTESTIN

est blessé lorsque vous mangez plus frit et de la nourriture épicée.

6. Les POUMONS

sont blessés lorsque vous respirez la fumée et restez dans un environnement pollué de fumée de cigarettes.

7. Le FOIE

est blessé lorsque vous mangez frit, la malbouffe et Fast Food.



8. Le CŒUR

est blessé lorsque vous mangez votre repas avec plus de sel et de cholestérol.

9. Le PANCRÉAS

est blessé quand tu manges des choses sucrées parce qu'elles sont savoureuses et disponibles gratuitement.

10. Les YEUX

sont blessés lorsque vous travaillez à la lumière de téléphone portable et écran d'ordinateur foncé.

11. Le CERVEAU

est blessé lorsque vous commencez à penser négativement.

12. L'ÂME

se sent blessée lorsque vous n'avez pas de famille et amis qui prennent soin de vous et partagent avec vous, dans la vie leur amour, affection, bonheur, tristesse et joie.

Toutes ces choses ne sont pas disponibles sur le marché.

Alors prends bien soin et garde tes parties du corps en bonne santé.

*EFFET DE L'EAU*

Nous savons que l'eau est importante mais sans savoir les heures spéciales pour en boire.

Boire l'eau potable au bon moment maximise son efficacité sur le corps humain.

1⃣ 1 verre d'eau après le réveil aide à activer l'intérieur des organes.

2⃣ 1 verre d'eau 30 minutes avant un repas facilite la digestion..

3⃣ 1 verre d'eau avant de prendre un bain aide la baisse de la pression sanguine

4⃣ 1 verre d'eau avant d'aller au lit évite l'AVC ou l'attaque du cœur.

Quand quelqu'un partage quelque chose de valeur avec toi et que tu en profites, tu as une obligation morale de le partager avec d'autres aussi
Auteur : Arthur 
5/6

Date :    10-04-2025 21:30:11





Vraiment le top du top a transmettre sans modération.................................
Pour ceux qui comprennent..................... .bien sur





Une pépite... Le fabricant de brouettes ! (reflet réaliste de notre situation actuelle...)
A première vue, ça peut vous paraître un peu long mais lisez-le jusqu'au bout, c'est savoureux.
Et puis vous rirez peut-être... ou peut-être pas......

Mon nom est Alcide REPART, j'ai 53 printemps au compteur de ma vie.

Après de nombreuses années passées en Australie, je suis revenu voici quelques mois afin de reprendre
la petite entreprise de mon père, qui était fabricant de brouettes.

Chacun se souvient de ce célèbre slogan des années 1960 :
« Quand toutes les autres s'arrêtent, seule la brouette REPART... »
En fin d'année 2014, j'ai mis au point une nouvelle brouette, plus légère et plus stable, avec laquelle
je pense augmenter mon revenu, qui sinon demeurera bien modeste.

Si les ventes suivent, je ne pourrai pas assumer seul la fabrication, et il me faudra embaucher
un compagnon dans l'atelier.

J'avais pensé demander à Marcel, qui est un brave gars du village et qui recherche justement
du travail. Mais ne connaissant rien aux lois françaises, car je suis resté longtemps loin du pays,
j'ai parlé avec des amis artisans, je suis allé à la chambre des métiers, j'ai consulté Internet, et je
vais vous expliquer pourquoi je n'embaucherai pas Marcel.

Je pensais donner à Marcel 100 euros par jour, s'il me fabrique quatre brouettes. Enfin moi je peux en
construire sept, parce que je ne compte pas mes heures.

Mais j'ai appris qu'une loi interdisait de faire travailler un employé plus de sept heures.

Alors je ne comprends pas pourquoi Marcel, travaillant moins que moi, et fabricant donc moins,
gagnerait plus que moi sans avoir aucune responsabilité.

Voilà pourquoi je n'embaucherai pas Marcel, parce que, voyez-vous, je suis constructeur de brouettes,
pas philanthrope.

Ces 100 euros journaliers, je comptais lui donner chaque vendredi soir, à l'issue de la semaine de travail,
comme le faisait mon père autrefois, soit 500 euros tout rond s'il a travaillé du lundi au vendredi,
et 400 euros si la semaine compte un jour férié. Mais j'ai appris que désormais, on devait payer les salariés chaque mois, ce qui est totalement niais vu que, chacun le sait bien, les mois n'ont pas le même nombre de jours et sont semés de jours fériés...

Ce n'est peut-être pas la faute de Marcel, mais en tout cas pas de la mienne.
Je ne vois pas pourquoi je lui donnerais la même somme en février qu'en janvier, car mon père m'a toujours appris qu'à tout salaire doit d'abord correspondre un travail.
Voilà pourquoi je n'embaucherai pas Marcel, parce que, voyez-vous, je suis constructeur de brouettes, pas une banque chargée de compenser les bosses du calendrier.

Je croyais aussi qu'il suffisait de lui donner cet argent, et de le déclarer aux Impôts, pour être en règle
avec la loi. Mais j'ai appris qu'il fallait écrire un bulletin, avec une bonne vingtaine de lignes, et prendre
à Marcel, sur l'argent que je lui dois, un certain pourcentage, pour aller le donner à une palanquée
d'organismes divers aux noms exotiques :
Urssaf, pôle emploi, etc... Sur les 500 euros hebdomadaires que je comptais donner à Marcel, une fois
servis ces organismes, il lui en restera moins de la moitié.

J'ai objecté qu'alors, il ne pourrait pas vivre. On m'a répondu que certes il ne vivrait pas bien du tout,
mais que par contre il était assuré contre tous les accidents de la vie : la maladie, la vieillesse, les coupures de doigts, la maternité (pour ceux qui n'ont pas suivi, Marcel est un mâle...), le chômage, la petite et la grande vérole (la petite c'est en standard, mais la grande c'est avec supplément), la grippe espagnole, et même le décès...

Alors j'ai dit que tout ça était idiot, puisque Marcel pouvait très bien s'assurer lui-même pour ce qu'il
voulait et que sa vie privée ne me regardait pas.
En outre son grand-père possède un joli vignoble, donc il ne sera jamais dans le besoin en cas de chômage car il héritera bientôt de cette vigne. En outre sa grand-mère va lui léguer deux ou trois maisons qu'il pourra louer, donc cotiser pour la retraite ne servira à rien. En outre cotiser pour le décès ne veut rien dire non plus puisqu'il est célibataire et que s'il meurt il ne pourra toucher cet argent.

Et enfin j'ai argué que je ne comprenais rigoureusement rien à leurs paperasses et que j'avais autre chose
à faire le soir, après avoir assemblé mes quatre brouettes, que de remplir des papiers et faire des chèques
pour des risques qui ne me concernaient pas. On m'a méchamment répondu que c'était comme ça la
solidarité en France depuis la guerre et que ce n'était pas autrement, et que si je ne payais pas tout ça
on me traînerait devant une cour de justice et on me prendrait cet argent de force.

Voilà pourquoi je n'embaucherai pas Marcel, parce que, voyez-vous, je suis constructeur de brouettes,
pas scribouillard et redistributeur d'argent. Et que la nuit, j'ai besoin de me reposer. Et que, pour avoir
donné un travail à quelqu'un de mon village, je ne veux pas courir le risque de finir devant un tribunal.

J'ai toutefois demandé ce qui se passerait, si j'étais assez fou pour m'occuper de ces problèmes, au cas
où Marcel se trouverait immobilisé par une brutale lombalgie après avoir riveté toute la journée. Avec
un tel montant de cotisations, je ne doutais pas que Marcel fut choyé comme un prince, et que ladite
assurance me fournirait ,pronto, un Marcel bis pour continuer le travail.

On m'expliqua alors que Marcel percevrait 80% de son salaire, puisque ce n'était pas de sa faute s'il
était sans revenu, mais que moi, par contre, je devrais fournir les 20% restant, soit quasiment 300 euros
par mois, jusqu'à ce que le Rhône se jette dans l'Euphrate, au nom d'une mystérieuse convention signée
autrefois par une secte très occulte qu'on appelle partenaires sociaux. J'objectai que si Marcel avait une
lombalgie, ce n'était pas ma faute non plus et que son assurance n'avait qu'à s'en occuper (c'est d'ailleurs
à ça que ça sert, une assurance...).
Et que si moi, je devais construire encore plus de brouettes pour payer ces 300 euros, c'est moi qui
aurais la colonne vertébrale en quenouille. On me rétorqua alors que je n'aurais droit à rien du tout, vu
que la colonne vertébrale d'un patron, c'était son problème à lui et pas celui de la solidarité nationale.
Voilà pourquoi je n'embaucherai pas Marcel, parce que, voyez-vous, je suis constructeur de brouettes,
pas assureur ni réassureur. Et que si je travaille, comme la majorité des gens, c'est pour moi, et pas pour
les autres.

Je me suis aussi inquiété de ce que je ferais de Marcel si mes brouettes ne se vendent plus un jour et si je
dois me séparer de lui. On m'a alors imprimé un document décrivant par le menu la procédure de
licenciement. Je l'ai lue trois fois, avant d'abandonner.

J'ai seulement compris que Marcel serait payé à ne rien faire un certain nombre de mois, et que l'argent
pour le payer à ne rien faire sortirait de ma poche, alors même que je n'aurais plus de rentrées. Et pour
pimenter la sauce, il faudrait que je lui verse une indemnité de licenciement, au moment où l'entreprise
n'aurait plus d'argent, et moi les poches vides et plus de boulot...

J'ai objecté que si les clients ne veulent plus de mes brouettes, ce n'est bigrement pas ma faute, et que
s'ils ne les achètent plus, je n'ai donc plus de trésorerie, donc je ne vois pas, sauf à puiser dans mes
économies, comment je pourrais rémunérer Marcel, qui ne fabrique plus, avec de l'argent que je n'ai pas.
On m'a rétorqué que un contrat c'est un contrat, et que je dois le respecter et qu'un patron se doit de
fournir à ses salariés un minimum de sécurité. A quoi j'ai répondu ne pas comprendre comment je pourrais
fournir à Marcel une sécurité que moi je n'aurai jamais... Je leur susurrai aussi que si je voulais embaucher Marcel, c'était pour lui donner un travail, pas pour lui assurer un salaire...

Voilà pourquoi je n'embaucherai pas Marcel, parce que, voyez-vous, je suis constructeur de brouettes,
pas une nounou sociale.

Un monsieur, se prétendant contrôleur du travail, avec des mains bien trop blanches pour savoir vraiment
ce qu'était le travail, est venu visiter l'atelier de mon père. Il a poussé des cris de choucas en rut devant
l'emboutisseuse, hurlant qu'elle n'était pas aux normes, et que si je mettais un employé devant cette
machine, j'irais droit en prison.

J'ai répondu que mon père avait travaillé 40 ans sur cette machine vénérable, et qu'il était seulement mort
d'être trop vieux. Que de toute façon je n'avais pas le premier sou pour acquérir une nouvelle emboutisseuse, et qu'il y avait mille autres possibilités pour se blesser dans un atelier que d'aller mettre la main sous cette satanée machine.

Voilà pourquoi je n'embaucherai pas Marcel, parce que, voyez-vous, je suis constructeur de brouettes, pas
ange gardien. Puis un jour, quelques mois après mon retour en France, un gentil courrier m'a annoncé que
j'allais devoir, moi aussi, donner plus de la moitié de mon bénéfice, après avoir rémunéré Marcel, afin de
bénéficier d'une protection sociale contre une montagne de calamités (curieux le lapsus légal qui vous fait
bénéficier de choses diverses avec votre propre bénéfice...).

J'ai décliné l'invitation, puisque j'avais, durant ma vie dans le Pacifique, économisé suffisamment pour être à l'abri. On m'a répondu que la protection, dans le doux pays de France, n'était pas une option personnelle, mais obligatoire, sous peine des pires sanctions financières et même de la prison.

Voilà pourquoi je ne vais sans doute pas continuer l'entreprise, et donc pourquoi je n'embaucherai pas
Marcel, parce que, voyez-vous, je suis constructeur de brouettes, pas un coffre-fort où vont puiser des gens
que je ne connais pas pour me garantir des choses dont je n'ai nul besoin.

A cet instant de mes réflexions sur l'avenir de cette petite entreprise familiale, j'ai regardé l'allure des
bâtiments où créchaient ces gens qui voulaient ma peau, je les ai trouvés tristes et laids. J'ai regardé la tête des employés de ces machines bureaucratiques auxquelles je m'adressais, je les ai trouvés déprimés et déprimants, j'ai regardé les imprimés que j'avais reçus, je les ai trouvés illisibles et incompréhensibles.

Et j'ai pensé à mon grand-père et à mon père, fiers de leurs brouettes et heureux de satisfaire leurs clients.
J'ai pensé au rêve que j'avais, en revenant en France, de retrouver ce bonheur simple durant une dizaine
d'années, avant de goûter aux joies de la pêche à la ligne. Je me suis demandé pour quelles obscures raisons j'irais me crever le derrière pour faire vivre cette armée de parasites et entretenir un système qui est à l'absolu opposé de mes valeurs les plus sacrées.

Parce que, voyez-vous, le travail a toujours été pour moi synonyme de bonheur. Et ce bonheur-là, tous ces
organismes en ont fait un bagne... Le problème dans tout ça, c'est que nous sommes cinq millions de petits
artisans dans ce pays qui n'embaucheront pas Marcel...

C'est ballot, n'est-ce pas... Mais après tout est-ce vraiment un problème ? Ne pas embaucher Marcel, ça fera plein de boulot pour les assistantes sociales, les pôle-employistes, les distributeurs de revenus minima, et bien sûr les fabricants de brouettes chinoises...

Et la France, vue d'Australie, passera encore un peu plus pour le dernier pays communiste d'Europe de l'Ouest.
Quant à Marcel, il se demandera longtemps pourquoi je ne l'ai pas embauché. Il se trouvera bien quelques
bonnes âmes pour lui susurrer que les patrons sont tous les mêmes, ils préfèrent se dorer la pilule dans le Pacifique que de jouer en France un rôle social de solidarité. Je n'ai jamais voulu jouer de rôle social, moi, parce que, voyez-vous, je suis un simple constructeur de brouettes... Et les autres, là-haut, les hauts fonctionnaires qui savent tout sur tout alors qu'ils n'ont jamais travaillé de toute leur vie (dans le sens où mon père entendait le mot " travail ", ils se demanderont longtemps pourquoi je suis reparti.
Pas le temps de leur expliquer...

Si à Bac +20, ils n'ont toujours pas compris, il est définitivement trop tard...

Dans quelques jours, je vais cesser de riveter des brouettes et je vais repartir dans le bush australien. Je vais:
fermer la porte du vieil atelier, qui a fait vivre ma famille pendant deux générations, et jeter la clé dans la rivière.
J'aime toujours la France, pays où je suis né, mais je n'ai pas le courage d'apprendre à devenir aussi abruti que
C eux qui le dirigent aujourd'hui...
Bonne journée
Auteur : Arthur 
6/6

Date :    14-04-2025 22:13:39




CITATIONS DU FISC ...

Lorsque je donne quatre coups de pédale, il y en a trois pour le fisc

Bernard Hinault




Le fraudeur fiscal est un contribuable qui s'obstine à vouloir garder un peu d'argent pour son propre usage

Philippe Bouvard




Si l'état créait un impôt sur la beauté, je serais exonéré !

Sim




Un millionnaire est un milliardaire qui vient de payer ses impôts

Jean Rigaux




C'était un Français qui payait tellement d'impôts que le jour où il mourut ... le gouvernement fit faillite

Roger Pierre




Les conneries c'est comme les impôts, on finit toujours par les payer

Michel Audiard




L'impôt est un tribu prélevé sur le travail des uns pour entretenir la paresse des autres

Inconnu




Puisque les impôts ont une assiette, pourquoi mangent-ils dans la nôtre ?

Alphonse Allais




Chaque contribuable est quelqu'un qui travaille au profit du gouvernement sans être astreint à passer les concours de fonctionnaires

Ronald Reagan




Réunion : L'administration française adore ça. Certains fonctionnaires poussent même le raffinement jusqu'à organiser des réunions pour fixer la date des prochaines

Jacques Mailhot




Mon père était fonctionnaire et ma mère ne travaillait pas non plus

Coluche




Un ministère est un lieu où les fonctionnaires qui arrivent en retard croisent ceux qui partent en avance

Clémenceau




Les fonctionnaires sont les meilleurs maris : quand ils rentrent le soir à la maison, ils ne sont pas fatigués et ont déjà lu le journal

Clémenceau




Les fonctionnaires sont comme les livres d'une bibliothèque : ce sont les plus haut placés qui servent le moins

Clémenceau


La France est un pays extrêmement fertile : on y plante des fonctionnaires et il y pousse des impôts

Clémenceau




Et je terminerais par celle dont je ne me rappelle plus l'auteur :

Le fisc, c'est l'inverse de l'école : c'est quand tu travailles bien que tu es puni !

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